Présentation de l’atelier de Mr Philippe Boulay

Nous avons assisté à l’atelier 3 qui a été animé par M. Philippe Boulay. L’atelier a commencé à 9 heures et s’est terminé à 11 heures. Il y avait les troupes du lycée Saint Benoît İstanbul, du lycée Saint Joseph İstanbul et celle du lycée Tevfik Fikret Ankara. Monsieur Boulay a commencé à se présenter rapidement à cause du temps qui leur était attribué, puis il a voulu connaitre le nom des participants. Il a ensuite décidé que connaitre seulement leurs noms n’était pas suffisant. Il a donc voulu savoir de quelle école ils venaient. Il a aussi donné quelques règles, les élèves se sont mis en cercle et ont regardé le sol. A ce moment-là il leur a expliqué l’importance du regard (par exemple si quelqu’un rit ou est triste, on doit le regarder dans les yeux pour établir et garder le contact.)
Puis le responsable M. Boulay a dit que, pour se présenter, il ne suffisait pas de dire seulement son prénom mais qu’il fallait aussi détailler son parcours. Donc, pour les connaître mieux, il leur a demandé ce qu’ils voulaient faire dans le futur, des données plus personnelles et pourquoi ils aiment le théâtre.
Puis il a continué à donner des règles importantes pour le théâtre. Par exemple, il leur a dit qu’il ne fallait pas s’excuser si on faisait une erreur, qu’il ne faut pas bouger pour rien quand on est sur scène et le plus important était de ne pas oublier les points en fin de phrase. C’est la chose la plus importante car il faut que les spectateurs comprennent que leur parole est finie. Deux élèves du lycée Saint Benoît lui ont demandé s’ils pouvaient s’assoir, il leur a répondu négativement.
Il leur a dit que c’était irrespectueux et que s’ils voulaient vraiment s’assoir, ils devaient s’asseoir dans le cercle seulement. Donc les deux élèves se sont assis dans le cercle.
Ensuite, M. Boulay a demandé à Gökberk Aydın, élève du lycée Tevfik Fikret Ankara, le style de musique qu’il aimait. Gökberk lui a dit qu’il aimait le jazz puis il a commencé à chanter. M. Boulay lui a demandé de chanter mais en fredonnant. Pendant cette activité, nous avons remarqué que tout le monde s’est bien amusé. Puis, M. Boulay leur a donné des papiers aux participants pour qu’ils puissent écrire un souvenir d’enfance qui les a marqués. Une fois que les élèves ont terminé d’écrire, il a demandé s’il y avait des volontaires pour nous lire leur souvenir. Quatre élèves se sont portés volontaires. Pendant cette activité, M. Boulay est intervenu à plusieurs reprises pour leur donner des explications
sur leurs performances. Il leur a expliqué qu’il fallait utiliser tout l’espace et lire les souvenirs en utilisant les mouvements. Il leur a répété également que le point à la fin d’une phrase était très importante car la fin d’une phrase, c’est du silence et que le silence est égal à dix mots.
Pour finir, M. Boulay a raconté également un de ses souvenirs d’enfance. Tout le monde était très attentif.
Tout ce que nous avons vu durant cet atelier, nous confirme que M. Boulay a essayé de donner des conseils très importants aux acteurs. Ada Arikanoglu- Rabia Nantu