les spectacles vendredi

DU CÔTÉ DES SPECTACLES “L’héritier”

par la troupe du collège Tevfik Fikret d’İzmir

Aujourd’hui, nous avons regardé une belle pièce qui s’appelle « l’héritier »  entre 14h et 14h45. Cette pièce a été mise en scène par la troupe du collège Tevfik Fikret d’İzmir.
Les acteurs étaient talentueux malgré leur jeune âge. Ils étaient plus jeunes que les autres acteurs qui participent au Tevfik d’Or habituellement.
Nous pensons que c’est une véritable chance pour eux, car grâce à ce festival ils peuvent se comparer aux acteurs des différents lycées et s’améliorer. Quant au jeu des acteurs il était réussi. Il y avait de petites erreurs qui ne dérangeaient pas vraiment la compréhension des dialogues.
Si on commence avec le décor, nous pouvons dire que c’était suffisant et bien choisi par rapport à leur pièce. La lumière était suffisante.
Comme nous l’avons déjà dit auparavant, les acteurs étaient talentueux spécialement le rôle de la déléguée. Les dialogues étaient compréhensifs et comiques.
Nous pouvons également ajouté que, même si c’était un peu rapide, la prononciation des acteurs était magnifique. Le dialogue que nous avons adoré était celui de Merlin. Quand il disait : « Oui, un héritier là on a besoin d’un héritier. Mais sans l’enfant […]».
A la fin de la pièce, il y a eu une surprise qui nous a choqué. Nous avons compris qu’en fait la personne qui avait volé la couronne d’Arthur était sa propre fille.
Finalement, nous pensons que c’est une pièce réussie. Même s’il y a eu quelques petites erreurs, la chose la plus importante est qu’ils aient réussi à faire cette performance.
Burcu Gönç - İlsu Dalçık - Yağmur Aydın - Elif Sinem Ateş

DU CÔTÉ DES SPECTACLES “Le mariage de Finette”

par la troupe du lycée Galatasaray İstanbul

Aujourd’hui, nous avons regardé la pièce de théâtre qui a été mise en scène par le lycée Galatasaray. Quand les rideaux se sont ouvert nous avons tous d’abord vu une scène de diner. A l’arrière-plan, Il y avait des rideaux blancs. Autour d’une grande table, les acteurs, dont on pouvait deviner leur rôle grâce à leur costume, y étaient assis. Il y avait aussi des acteurs debout qui jouaient les servantes.
Finette, 17 ans, est forcée par ses parents, M. et Mme Bichu, à se marier avec un homme de 47 ans qui est professeur de physique. Mais elle est amoureuse d’un artiste, Apollon Bouvard qui est jeune et elle veut se marier avec lui.
Quand les scènes changeaient, les lumières s’éteignaient et on pouvait entendre une musique amusante. Cela a permis de garder l’attention des spectateurs et a rendu la pièce plus amusante. Le décor changeait au fur et à mesure que les évènements se passaient. Tout cela était bien pensé.
De plus, le décor était riche et convenait parfaitement à l’histoire.
La prononciation de quelques acteurs n’était pas excellente mais la plupart des comédiens avaient une élocution de qualité et la langue utilisée était parfaitement compréhensible. Le jeu des acteurs était en général bien réussi. Il est évident que les acteurs ont beaucoup travaillé pour réussir cette performance. Les costumes et les maquillages étaient tout à fait corrélation avec l’histoire et les personnages.
Les acteurs ont mieux su placé leur voix vers la fin de la pièce. Par contre, nous pensons que les spectateurs qui se trouvaient au fond de la salle, n’ont pas très bien entendu.
Pendant la soirée de la signature du contrat de mariage, Finette a dit à ses parents qu’elle ne voulait pas se marier avec le professeur de physique car elle aimait un autre homme et qu’elle voulait se marier avec l’homme dont elle était amoureuse. Sa famille ne pouvait pas accepter cette situation et c’est pourquoi Finette et son amoureux ont commencé à courir pour s’échapper. A ce moment-là, les acteurs sont descendus de la scène en courant, ils sont passés à travers la salle et sont ensuite retournés sur scène pour saluer les spectateurs. Nous nous sommes dit que la fin était très bien pensée et très bien préparée.

On félicite tous les acteurs et leurs metteuses en scène pour avoir réalisé cette pièce.

Gül PEŞKİRCİOĞLU - Bilge Selcen SOLAK - Burcu BALDEMİR

DU CÔTÉ DES SPECTACLES “Raadji”

par la troupe du lycée Saint Benoit İstanbul

La troisième pièce d’aujourd’hui était « Raadji » inspiré du roman d’Ahmed Hilmi, présentée par des élèves du lycée St. Benoit. C’était une des pièces les plus intéressantes qu’on a vue jusqu’à maintenant. Cette pièce philosophique et littéraire qui posait la question de l’existence était loin d’être ennuyante. Pendant la pièce, ce qui était différent et intéressant, c’était le fait que les comédiens changeaient de costumes et de maquillage sur scène. Cela aurait pu déranger les spectateurs, mais comme les comédiens bougeaient très lentement on n’a pas eu de difficultés à nous concentrer sur ce qui se passait sur le devant de la scène. Changer les costumes sur scène leur a permis de créer des connections entre les scènes et une harmonie totale qui donnait de la fluidité à la pièce. Même s’ils n’avaient que quelques accessoires comme décor, leurs costumes suspendus aux panneaux derrière eux apportaient l’élégance et la richesse d’un vrai décor. C’était coloré et visuellement très beau. De plus, on a appris au point chaud que les costumes avaient été créés par les comédiens eux-mêmes avec de l’aide de leur professeur d’arts plastiques et de leur metteur en scène. On trouve cela très impressionnant. Sur scène, il y avait sans cesse des changements : les costumes, les rôles… Comme les rôles de la plupart des acteurs changeaient on a eu l’occasion d’apprécier le talent de tous les comédiens un part un. On peut dire que la distribution des rôles était équitable. Ce sont tous des acteurs très doués surtout le comédien qui a joué Raadji. Leurs mimiques et le placement de leur voix étaient très efficaces. C’était coloré et visuellement très beau. De plus, on a appris au point chaud que les costumes avaient été créés par les comédiens eux-mêmes avec de l’aide de leur professeur d’arts plastiques et de leur metteur en scène. On trouve cela très impressionnant. Sur scène, il y avait sans cesse des changements : les costumes, les rôles… Comme les rôles de la plupart des acteurs changeaient on a eu l’occasion d’apprécier le talent de tous les comédiens un part un. On peut dire que la distribution des rôles était équitable. Ce sont tous des acteurs très doués surtout le comédien qui a joué Raadji. Leurs mimiques et le placement de leur voix étaient très efficaces. C’était coloré et visuellement très beau. De plus, on a appris au point chaud que les costumes avaient été créés par les comédiens eux-mêmes avec de l’aide de leur professeur d’arts plastiques et de leur metteur en scène. On trouve cela très impressionnant. Sur scène, il y avait sans cesse des changements : les costumes, les rôles… Comme les rôles de la plupart des acteurs changeaient on a eu l’occasion d’apprécier le talent de tous les comédiens un part un. On peut dire que la distribution des rôles était équitable. Ce sont tous des acteurs très doués surtout le comédien qui a joué Raadji. Leurs mimiques et le placement de leur voix étaient très efficaces. Les scènes les plus remarquables étaient celle ou une des comédiennes a fait tourner Raadji, les scènes de combat étaient également très visuelles. On a vu des scènes épiques mais elles étaient peut-être trop longues. Nous pensons en effet, que ces scènes étaient probablement pensées pour rendre le texte originel lourd et philosophique plus amusant mais c’était un peu long. L’utilisation de la lumière blanche pendant les scènes de combat nous a fait un peu mal aux yeux même si c’était une bonne idée. La musique qui accompagnait les scènes de bataille était convenable, ça nous a fait penser aux musiques de jeux vidéo. Les autres musiques utilisées étaient asiatiques et spirituelles, cohérentes avec le thème. Au lieu d’utiliser la même musique dans toutes les scènes de combats, ils auraient peut-être pu la variée un peu. Pour conclure, on a regardé une pièce représentée avec talent, avec des costumes spectaculaires. C’était une excellente pièce pour finir la journée. Eda GÜRLER – Yağmur KESMEZ