Du côté des spectacles, jeudi 8 mai

“Sous construction — Osez” par la troupe de l’école Oasis Internationnal — Egypte

La pièce a commencé dans le noir et la salle s’est éclairée doucement, il y avait une musique traditionnelle au fond même quand les personnages parlaient mais ça n’a pas causé de problème. La scène était claire mais la salle était sombre. La pièce parlait du conflit entre l’Égypte et Israël. La pièce a été écrite par les acteurs eux-mêmes. Au début on a vu une servante habillée en tenue égyptienne dans un café qui rangeait la salle. Il y avait des égyptiens de différentes religions qui venaient les uns après les autres dans le café, ils avaient tous une opinion différente. Au début les comédiens avaient une voix basse mais avec le temps ils se sont habitués et ont augmenté la puissance de leur voix. Quand un des comédiens parlait pour expliquer la situation, la lumière se focalisait sur ce personnage et les autres restaient immobiles. Ils ont parfois utilisé des mots en arabe comme selaminaleykum, elhamdulillah, vallah, yallah… Le décor ne changeait jamais mais c’était quand même impressionnant. İl y avait seulement une table rouge au milieu de la scène. Les costumes eux aussi étaient simples, quand les acteurs changeaient leurs accessoires par exemple leur chapeau, leurs personnages changeaient aussi. C’est pourquoi il y avait seulement deux comédiens. Les comédiens jouaient leur pièce en faisant participer les spectateurs. Il y avait une musique de fond impressionnante. Les interprètes étaient pieds nus et ont très bien joué leur rôle. La répétition des phrases augmentaient la dramatisation.
A part la chute d’une des comédiennes il n’y a pas eu d’autres accidents.

Selin Karakaya, Selin Ateş, Yunus Bensghir, Alara Buyuran

“İci ou là” par la troupe “Le Gros Atelier” du Lycée Galatasaray

La pièce a commencé avec une femme qui était en train de pêcher. Elle avait un peignoir de bain et elle n’avait pas une apparence normale. On avait l’impression qu’elle était folle. A l’arrière-plan, il y avait une corde qui faisait toute la longueur de la scène. Tous les acteurs sont entrés sur scène en mimant leur propre mort. Le premier est arrivé et à la fin, ils étaient sept. La pièce s’est terminée avec 2 filles au centre de la scène. Quant au décor, il y avait seulement des cordes portées par les acteurs. Leurs costumes mettaient en valeur leur personnage. Ils étaient simples. Ils n’ont pas utilisé d’accessoires. Ils ont utilisé la musique pour exprimer leurs sentiments et nous pensons que, s’il n’y avait pas eu de musique la pièce aurait été un peu ennuyeuse. Ils ont aussi amélioré leur pièce en utilisant des effets de voix comme le son d’une bombe. De nombreuses situations différentes s’enchainaient mais la pièce n’a pas duré très longtemps. Les acteurs ont très bien joué leurs rôles. C’était une pièce à voir. Presque un sans-faute. Ils avaient beaucoup de présence sur scène. Dans la pièce, il y avait des tableaux surprenants et à la fin on a compris que c’était seulement des hallucinations. La pièce était drôle c’est pourquoi les spectateurs ont beaucoup rigolé, comme nous. Nous vous remercions pour votre performance. FELICITATIONS! Alara Buyuran, Yunus Bensghir

“Mon amie Mômie” par la troupe du Lycée Sain-Benoît

La pièce a commencé avec une jeune fille et un garçon,. La fille parlait des rêves, mais l’homme ne comprenait pas. Les acteurs avaient une voix très forte et grâce au haut-parleur toute la salle a entendu ce qu’ils disaient. La première scène était époustouflante. Les costumes étaient simples mais efficaces. On a beaucoup aimé les filles portant des masques, parce qu’ils étaient envoutants. Le décor n’a pas changé après que les rideaux se soient ouverts. Mais en fait, ce n’était pas nécessaire parce que la pièce était captivante. Les scènes d’hallucination avec les filles en blanc étaient effrayantes et toute la salle a ressenti le frisson de la peur et une tension grandissante. Les jeux de lumière étaient très réussis. Le personnage principal -Marie (Momie)- est une jeune fille qui croit qu’elle mourra à l’âge de 20 ans parce que sa mère s’est suicidée avec des médicaments. L’actrice nous a transmis avec brio toutes les émotions ressenties par le personnage. Alex, le jeune homme qui est amoureux de Marie nous a donné l’impression de l’aimer désespérément. Quant à la belle-mère, elle nous a convaincus de sa haine pour la jeune fille, en nous transmettant parfaitement les émotions qui l’habitaient. La pièce s’est terminée avec Marie, embrassant la petite boite à musique. En conclusion la pièce était extrêmement émouvante et nous a bouleversés. On félicite les acteurs pour leur prestation et leur professeur pour avoir écrit une telle pièce. Alana Yosun Walsh et Beril Tekin