Interview avec madame Sitare Ayaz

Est-ce que ça a été difficile de tout organiser ? Pourquoi ?
Ce n’était pas seulement moi qui aie organisé le festival. Il y a plein de personnes qui s’en sont occupées. Je suis seulement un élément dans l’organisation de ce festival. Alors ça n’a pas été difficile parce que tout le monde a beaucoup travaillé. Mais les élèves étaient bien organisés et ils étaient très sympathiques. Je pense que tout va bien.

Qui vous aide à organiser les Tevfik D’or ? Qui sont les responsables ?
Nos élèves de 11ème et de 10ème. Mais ce sont surtout les 11èmes qui se sont très bien occupés de l’organisation comme Yaren Pehlivan, Selen Alkin, Beril Tekin.
Les responsables des différentes activités sont : Yaren Pehlivan, Ayşenaz Bayam et Sezer Kısacıkoğlu pour les activités sportives (elles étaient en fait presque partout). Elles se sont données à fond pour que tout se passe bien durant cette semaine.
İrem Doğa Akgül était responsable du programme des ateliers.
Ceren Naz Erdaloğlu et Serdar Büyükbektaş se sont chargés de programmer les activités sociaux après l’école. Ceren Esmer et Zeynep Oktay ont fait un excellent travail avec les vidéos. Cem Keşke s’est occupé, avec İrem Doğa Akgül, des sketchs de présentation des spectacles. Cem a également fait la vidéo sur le clip des Tevfik d’OR. Cette année, nous avons également une troupe junior, celle du collège Tevfik Fikret İzmir, qui va présenter une pièce hors concours. Les responsables de cette troupe sont deux élèves : Ulaş Tecelli et Bahar Bek. On ne doit surtout pas oublier la sous directrice du collège Madame Alperi ainsi que tous les professeurs impliqués dans des tâches différentes pour la réalisation de cette semaine.

Que pensez-vous de l’ambiance générale des Tevfik d'Or des années précédentes ?
Toutes les années ont leur propre ambiance. Parce que ça dépend de l’atmosphère, de la psychologie, de la personnalité et de la créativité des élèves. Ça change toutes les années parce que c’est vous, les élèves qui l’organisez. Quand on regarde les années précédentes, on a toujours eu des retours très positifs.

Jusqu’à cette année les Tevfik D’or était un festival international, il y avait des participants qui venaient d’autres pays. Mais cette année ce n’est pas le cas. Pensez-vous que cette situation affectera le déroulement des Tevfik d’Or ?
Bien sûr qu’on préfère que des troupes étrangères viennent mais malheureusement ça n’a pas été le cas cette année. Mais je ne pense pas que ça va changer l’ambiance générale. Par contre, nous ne devons surtout pas oublier le but qui est évidemment le français.

Quand vous étiez élève au lycée, les Tevfik d’Or existaient-ils déjà ? Si non, auriez-voulu que cela existe ? Si oui, auriez voulu faire partie de l’organisation ?

Malheureusement il n’y avait pas cet événement à mon époque mais je sais que s’il existait j’aurais sûrement participé à l’organisation car je trouve que les élèves se débrouillent très bien. Je peux également ajouter que quand il y a des troupes étrangères qui y participent, on a toujours de la chance de faire leurs connaissances.

Les années précédentes vous organisiez cet événement avec Mme Alperi. Pourquoi vous avez décidé d’organiser cet évènement toute seule ?

Je n’ai pas décidé d’organiser ce festival toute seule, on est toujours ensemble. Cette semaine, malheureusement, elle a dû s’absenter. Elle a commencé avec moi, elle est autant que moi responsable de l’organisation comme les années précédentes.
Quelles sont les réactions des élèves face à cet évènement ? Est ce qu’ils aiment les Tevfik d’Or ?
Ils aiment ça parce que c’est une excellente opportunité pour eux. On peut dire aussi que c’est une période de pause pour les élèves.
Ils ont 40 heures de cours par semaine et durant ces quatre jours ils n’y assistent pas. C’est une bonne occasion pour se reposer et faire un break.
Rabia Nantu - Ada Arıkanoğlu